Projets et utilisateurs

Le MESOCENTRE ESPRI soutient les projets de recherche majeurs du centre de modélisation du climat, du pôle observation de la terre de l’IPSL, des différents laboratoires et chercheurs et indirectement les projets de recherche internationaux et doit répondre en permanence à de nouvelles demandes et intérêts d’organisme divers en dehors de l’IPSL.
L’outil ESPRI adapte ses performances au jour le jour et cette adaptation à un coût lié à l’obsolescence du matériel informatique.
Face à la concurrence, les exigences internationales et les enjeux de ce secteur de recherche, la mise à jour du matériel est une obligation permanente et ne sait actuellement dépendre que de financements.
A considérer également le coût en licences d’applications pour la gestion des environnements matériels et les applications de calcul.

ESPRI est à la fois victime de sa qualité et de sa gratuité puisqu’il s’intègre dans l’offre de soutenance de chaque projet de recherche.

Les processus exigent toujours plus de performances du à la densité des flux, des quantités de données, des vitesses de traitement.
Les demandes d’utilisation affluent, est-il possible d’envisager un usage par des industriels à titre de financement secondaire, c’est une question à l’ordre du jour, le montage du financement d’un projet s’avérant parfois compliqué et pas toujours garanti. Dans ce cas l’utilisateur se ferait client.

Hébergement de projets

La limite entre le projet de recherche et ESPRI est floue. On ne fait pas d’alchimie sans four ni éprouvettes. Il s’agit donc d’une osmose dédiée à la recherche climat. La définition d’un MESOCENTRE inclus les dimensions technique, humaine et scientifique. La nature des projets hébergés par l’IPSL définit par essence la vocation d’ESPRI et ses objectifs. L’hébergement scientifique inclut les applications, les algorithmes, les données créés par les chercheurs et utilisées par eux-même en confrérie. Il s’agit de l’ensemble de service pour la recherche à l’IPSL c’est l’IPSL qui gère le plan administratif projet.

  • Pôle national atmosphère. ETHER, AERIS ?
  • Simulations
  • Exemples : REMENBER, MEDCORDEX, MEGHA-TROPIQUES, PEGASE

Qui sont les utilisateurs

  • Laboratoires, projets…

LATMOS, LOCEAN, LMD

  • Portraits de chercheurs, groupes (axé sur le côté client du MESOCENTRE)

Ingénieur CNRS en développement et déploiement d’applications

sebastien-denvil

Au sein du pôle de modélisation du climat de l’Institut Pierre-Simon Laplace, Sébastien Denvil dirige l’équipe Prodiguer. Son rôle : gérer et distribuer les résultats des modèles de climat au sein de l’infrastructure ESGF (Earth system grid federation), qui accueille la plus grande base de données de modélisation du climat au monde et les met à disposition des chercheurs de tous pays. Au quotidien, il décide des contraintes auxquelles doivent répondre les données pour être incluses dans l’infrastructure, mais aussi des développements de logiciels et des ordres de priorité pour traiter les données.


SIRTA – Groupe de travail sur les données

Au pôle atmosphère

Depuis quelques mois les activités de recherche fondées sur l’observation de l’atmosphère se structurent au niveau national autour d’un SOERE ATMOS, prémices d’une future Infrastructure Atmopshère. Cette structure s’appuie sur un pôle technique baptisé Pôle Atmosphère et constitué de quatre centres de données : ICARE, ESPRI/IPSL, SATMOS, SEDOO/OMP.